Évitez les Traumatismes Musculaires et Cervicaux

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ton post est intéressant. J'ai quelques petits bobos (aux épaules, tendinite au coude gauche). De ce fait, depuis le mois de novembre, j'ai tout arrêté malgré le temps agréable. Je piétine...grrr. Je possède une Fone 12.6, je pense que par rapport à mon poids et ma taille, c'est suffisant ?

Les dernières pierrotboards sont l'archétype de l'"eco paddling", la pagaie en bambou Hi_Fun hydroworks en est un autre... je vais peaufiner le concept.

Merci Pierrot pour ce retour...

C'est compliqué car multifactoriel. Génétique, inflammation, déséquilibre musculaire, manque de souplesse, il y a sûrement aussi une composante psychologique aux troubles musculo-squelettiques. Le stress a je pense un effet négatif a long terme.

Soumis a ce type de problème depuis une bonne quinzaines d'année, avec des périodes franchement difficile, je note que le sup a eu deux effets bénéfique :  
- Renforcement du gainage abdominal avec tous ce qui en découle en protection de la colonne vertébrale
- Contact avec la mer, détente, plaisir, baisse du stress

Malheureusement, comme souvent, une pratique trop poussée peut avoir des effets inverses :
- Stress de la compétition, de la recherche de toujours plus de performance...
- Mouvement répétitifs qui créés de nouveaux déséquilibres
- Usure anormal du a la charge et a la répétition de certains mouvements...

En conclusion : keep cool, bougez en gardant l'equilibre comme objectif

moi je suis daccord avec domdom2

pour ceux qui ne font pas de la compete c'est keep cool faire attention a ce qu'on fait en prenant du plaisir, échauffement, boire de l'eau avant pendant et apres, et prier le bon dieu pour pas qu'un muscle un nerf un os ou un tendon pète !!!!
il y a tellement de facteurs qui peuvent determiner l'etat de notre "NOUS interieur" qu'il faudrait etre chirurgien specialiste de tout le corps pour pouvoir diagnostiquer et trouver la marche a suivre,
donc faire attention a soit et profiter de ce joli sport que le bon dieu a bien voulu nous donner ça sera deja pas mal

...et pour les anciens, c'est comme un vieux Diesel: mollo au démarrage, par contre après 20 bornes, toujours au taquet!

longueur de la planche, distance, sans oublier la rame qui elle peut faire de gros dégâts si le manche de la pagaie est trop raide/trop long ou une pale trop grande. J'ai la chance depuis le début de ramer sur une planche longue  avec des pales de petites tailles sur une rivière et au vu de l'effort asymétrique pas de bobo jusqu'à aujourd'hui. Il faut faire attention le sup est un sport qui peut être extrêmement traumatisant. apprendre à avoir une bonne position et bien ramer c'est pas du luxe. le plus dur c'est de trouver celui qui va avoir un bon oeil pour rectifier les pb de positionnement. Pour ceux qui peuvent apprendre ou réapprendre à ramer sur un billard est un gros plus pour la performance et forcement un gros plus pour la longévité du corps.

Le SUP Race est un des sports d'endurance les moins traumatisants que je connaisse à condition d'avoir les bons gestes de rame et les bases d'échauffement, d'hydratation et de récupération. Même pour les épaules et le rachis cervical je suis persuadé que le SUP est bénéfique dans la majorité des cas. Actuellement, après 45 ans, peu d'anciens sportifs ont des ménisques comme neufs et des lombaires nickel. Je parie un leash que dans 30 ans les "anciens" SUPers n'auront pas ou peu de soucis articulaires car c'est un sport hyper complet aux gestes très physiologiques.

Je suis de ton avis, comme le vélo c'est un sport d'endurance que les vieux (comme moi) peuvent faire quand ils ne peuvent plus courir (comme moi...). Ménisques, lombaires, cartilages, c'est quand même rare qu'il n'y ait pas une usure quelque part...

Et en mer c'est excellent pour le travail de proprioception !

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Le stand up paddle contre la lombalgie
     Face à l'engouement des sports nature et la nécessité de faire une activité physique pour combattre la sédentarité. le stand up paddle est apparu comme l'outil idéal  permettant  d'approcher le milieu marin en famille, en balade ou en sportif de haut niveau, il est un support idéal pour faire du sport en extérieur , nous reconnecter à la nature, et il permet de redonner une tonicité au dos mis à mal par nos activités professionnelles.

La suite  
http://jeromemoiny.blogspot.fr/2013/08/le-stand-up-paddle-contre-la-lombalgie.html

J'ai pour ma part choisit une autre option.
Le sup/surf...pas de problème de geste répétitif...une posture et des gestes en perpétuel changement...je trouve ça plus fun et cela limite les traumatismes..
Option de faignant aussi peut être...

Sinon le SUP/promenade c'est bien aussi, c'est doux, c'est simple, il y a pas de pression, on se prends pas des grosses boites, l'eté au frais dans les conches a l'ombre, pis a la fin on boit des bieres !!!

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Effectivement le stand up paddle présente de nombreux avantages. L'air de la mer, l'activité en elle-même nous apportent un bien-être incontestable. Il suffit juste de se connaitre et de ménager sa monture...!!!

J'ajoute également que quelque soit la pratique sup (soft, compet, surf) ont gagne énormément a pratiquer plusieurs activités physique.
Un mouvement répétitifs créés le déséquilibre et le traumatisme. C'est aussi vrai dans l'exercice d'une profession que pour le sport...

Un compétiteur doit faire rentrer d'autre activité que son sport dans son planning de préparation... Ce que parfois oubli certain pratiquants visant la performance...

faire du sup et boire une biere ça fait pas deux activitées ?

Boire une bière, non cela ne compte pas...

A partir d'un pack par contre il est très possible que cela intervienne sur la perception d’éventuelles douleurs liées a un usage excessif du sup

domdom2 a écrit:J'ai pour ma part choisit une autre option.
Le sup/surf...pas de problème de geste répétitif...une posture et des gestes en perpétuel changement...je trouve ça plus fun et cela limite les traumatismes..
Option de faignant aussi peut être...

Vu les vagues dans la région...

Oui j'imagine qu'attendre LA vague sur l'Erdre doit être assez reposant...

J'avoue que pour moi l'été c'est parfois difficile. J'arrive a balayer la zone Saint-Brevin - Les Sables d'Olonne.
Je cale la 6'4 dans le coffre les jours de taf...Et je surveille les webcam en fin de journée..
Mais parfois...pas de vagues...Descendre encore plus bas c'est ensuite trop de contrainte...

Mais comme je pratique aussi, le kite, le vélo, la natation et le tennis de table en compet...ben ça va quoi

Après 30 ans de surf, je te rassure, j'avais compris qu'une planche de surf n'avais aucun intérêt et je suis plus en mode cardio sur l'Erdre
Je n'ai jamais trouvé mon bonheur en surf en Loire Atlantique, sauf en windsurf à la pointe St Gildas mais c'est tellement rare. Il est préférable d'avoir un sport (et non un spot) de repli quand on est "waverider" en Loire Atlantique surtout aux Moutiers.

1) Je pensais à ce post en me préparant aujourd'hui avant ma session de SUPsurf à Trouville, et je voulais juste insister sur la notion d'échauffement. Quand j'étais jeune et ''élastique'' (disons jusqu'à 40 balais !), je filais à l'eau direct,comme un mort de faim, en surf comme en windsurf, et ça ne me posait pas de problème particulier, le jour même comme les suivants, hormis bien sûr le ressenti de fatigue. Puis, ça a commencé à devenir difficile les lendemains de session de surf, avec un mauvais mal de dos au niveau des lombaires. Il y a 10 ans, je me suis mis au SUPsurf, et là, bingo (je ne parle pas du nombre de vagues prises...) : j'ai continuer à souffrir pendant quelques mois, surtout pendant la session, puis j'ai eu le sentiment que tout se mettait en place et j'ai ressenti les effets bénéfiques que vous décrivez dans vos posts. Je me suis ensuite pris en main question échauffement : 10 bonnes minutes, flexions, rotations, avec baume du tigre à l'appui (et surtout pas d'étirements avant l'effort !): les potes son parfois morts de rire mais je m'en moque : pas un brin de jeu le lendemain. Depuis, c'est tout bon, à condition de ne pas me mettre dans le rouge quand je monte sur une board de Race pour une balade (je ne fais surtout pas de courses...) et de ne pas insister comme une brute si ça ne part pas au take off en SUPsurf. Et je suis stupéfait par le fait de pouvoir remonter inlassablement au pic sans être complètement cuit et pouvoir enchaîner plusieurs sessions par jour. (Je précise que je suis fan de longSUP, nettement moins fatigant pour se déplacer sur le plan d'eau...)

2) Laird Hamilton dit que  : '' même blessé, on peut souvent aller à l'eau prendre quelques vagues, le corps compense...'' A consommer avec modération, mais il m'est arrivé d'aller à l'eau avec une vertèbre en indélicatesse après un déménagement (blocage, pas de lésion, j'insiste !). J'ai trouvé que ça m'avait détendu de pouvoir accompagner les copains, et je pense que le déblocage est donc intervenu plus rapidement (pour ceux qui connaissent, le fameux ''cloc'' du lendemain qui te remet instantanément droit comme un ''i'' !)

frank44 a écrit:
Je n'ai jamais trouvé mon bonheur en surf en Loire Atlantique, sauf en windsurf à la pointe St Gildas mais c'est tellement rare. Il est préférable d'avoir un sport (et non un spot) de repli quand on est "waverider" en Loire Atlantique surtout aux Moutiers.

Il y a pourtant myen de shooter voire d'enfiler des barriques si on cherche bien avec les condisses ad hoc , nord comme sud loire

frank44 a écrit:
Je n'ai jamais trouvé mon bonheur en surf en Loire Atlantique, sauf en windsurf à la pointe St Gildas mais c'est tellement rare. Il est préférable d'avoir un sport (et non un spot) de repli quand on est "waverider" en Loire Atlantique surtout aux Moutiers.

Il y a pourtant myen de shooter voire d'enfiler des barriques si on cherche bien avec les condisses ad hoc , nord comme sud loire

ET puis il reste un espoir : le réchauffement climatique...
Bientôt un accès a la plage directement depuis le jardin, bien protégé par la barrière de corail...et juste derrière il y aura ça :